Les effets de hautes symétries dans les nanostructures semiconductrices sont récemment devenus un sujet de d’intérêt élevé. On se rend compte actuellement que d’une part, pour comprendre des applications tout optiques telles qu’un résonateur à haut rendement intégrant des photons liés aux réseaux de communication la symétrie du système pourrait être l’ingrédient manquant. D’un autre côté, il a été récemment constaté que l’analyse théorique du groupe des représentations de structures fines de complexes excitoniques a permis de démêler et interpréter la spectroscopie complète de boîtes quantiques.
L’objectif de ce PHC, en commun avec le groupe du professeur Marc-André Dupertuis de l’EPFL de Lausanne, est la mise sur pied de méthodes de valeur (sur les plans distinct de l’efficacité numérique et de l’analyse physique) pour traiter et analyser les propriétés physiques des hétérostructures semiconductrices, notamment les boites quantiques, qui sont d’un très haut intérêt pour l’avancement des technologies de l’information quantique.
Mise au point d’un code optimisé de tight binding
EPFL
(groupe(s) Foton impliqué(s) : Simulation)
Jean-Marc JANCU (Foton)
Projet sélectionné lors du PHC Germaine de Staël 2011, permettant le financement des déplacement France-Suisse.